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Photographie | Dessins et plans | Géométrie | Gravure | Précipitations (météorologie) | Pluies | Radars météorologiques | Temps (météorologie) | Russie | Terriers (races canines) | Structure cristalline (solides) | Réfraction -- Mesure, Indice de | Chiens policiers | Salazie (Réunion) -- Village de Hell-Bourg | Hell-Bourg (Réunion) | Carlo Sarrabezolles (1888-1971) | Cristallographie | Dendrites (cristallographie) | Cristaux dendritiques | Monuments aux morts | ...
Principe de Pascal en hydrostatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/509fe717-principe-de-pascal-en-hydrostatique

Principe de Pascal en hydrostatique

Éclatement d'un tonneau sous la pression d'une colonne d'eau : Expérimentalement, on constate que la pression dans l'eau ne dépend que de la profondeur et pas de la direction. En effet, si l'on prend une petite boîte rigide ouverte d'un côté et que l'on tend une membrane élastique, cette boîte enfermant de l'air à pression atmosphérique, et que l'on plonge cette boîte dans l'eau, la déformation de la membrane permet de visualiser la différence de pression entre l'air et l'eau, et celle-ci ne dépend que de la profondeur, pas de l'orientation de la boîte ni de sa position dans le plan horizontal. Cette relation entre la pression dans un fluide et la profondeur est connue sous le nom de principe de Pascal, et est à la base de l'hydrostatique.

Projection orthogonale. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e826a7-projection-orthogonale

Projection orthogonale

La projection orthogonale est un type de perspective très utilisée en dessin (géométrie descriptive), et en infographie : la génération des figures est simple, par contre, on ne peut pas représenter l'éloignement (la taille des objets ne varie pas avec la distance). De manière plus générale, en algèbre linéaire, une projection orthogonale est un projecteur tel que les deux sous-espaces sont orthogonaux. La projection orthogonale permet de résoudre le problème de la plus courte distance d'un point à une droite, d'un point à un plan, ou plus généralement d'un point à un sous-espace affine d'un espace euclidien d'autre part. On peut alors utiliser ce concept pour résoudre des problèmes de type «moindres carrés». L'idée générale, basée sur le théorème de Pythagore, est que le problème de plus courte distance se ramène à une propriété d'orthogonalité.

Racines de hêtre. Source : http://data.abuledu.org/URI/5064b717-racines-de-hetre

Racines de hêtre

Système racinaire puissant, souvent traçant du hêtre commun. Le système racinaire du Hêtre est à la base un système “en cœur” puissant, avec de nombreuses racines multidirectionnelles et souvent soudées entre elles, qui en l'absence de contraintes peut s'installer assez profondément. Cet enracinement n'est cependant pas capable de franchir des obstacles du sol tels que des couches compactes et mal drainées ou des couches indurées. Les racines tendent alors par compensation à se développer horizontalement en surface et confèrent alors au Hêtre sa réputation d'arbre à enracinement superficiel. Une telle assise de l'arbre en “galette” peut alors le rendre plus sensible au renversement par le vent que s'il s'agissait d'une autre essence forestière.

Remparts de la citadelle d'Essaouira au Maroc. Source : http://data.abuledu.org/URI/5309e254-remparts-de-la-citadelle-d-essaouira-au-maroc

Remparts de la citadelle d'Essaouira au Maroc

Essaouira (Maroc), le port, les barques de pêcheurs et les remparts de la citadelle. En tamazight تصورت tassourte "la bien gardée", en arabe : الصويرة, transcription : Al-Suwayra, "la bien dessinée". En 1764, le sultan Mohammed ben Abdellah décide d'installer à Essaouira sa base navale, d'où les corsaires iront punir les habitants d'Agadir en révolte contre son autorité. Il fait appel à Théodore Cornut, un architecte français à la solde des Britanniques de Gibraltar. Le sultan le reçoit avec tous les honneurs dus à un grand artiste et lui confie la réalisation de la nouvelle ville « au milieu du sable et du vent, là où il n'y avait rien ». Cornut l'Avignonnais, disciple de Vauban, et qui avait été employé par Louis XV à la construction des fortifications du Roussillon, travailla trois ans à édifier le port et la kasbah, dont le plan original est conservé à la Bibliothèque nationale de France à Paris. Il semblerait que la seconde ceinture de remparts et la médina aient été dessinées bien après le départ de Cornut. Le sultan n'avait pas souhaité prolonger leur collaboration, reprochant aux Français d'être trop chers et d'avoir travaillé pour l'ennemi britannique. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Essaouira.

Schéma d'un grain du maïs. Source : http://data.abuledu.org/URI/5288c5d1-schema-d-un-grain-du-mais

Schéma d'un grain du maïs

Schéma d'un grain de maïs : 1-Embryon, 2-Albumen (Amidon farineux), 3-Couche à aleurone (amidon corné ou vitreux), 4-péricarpe, 5-zone de transfert. Le grain de maïs est en fait un caryopse, formé de trois parties d’origines différentes : 1) l’embryon, couramment appelé « germe », situé à la base du grain qui comprend l’embryon proprement dit ou « gemmule » et le scutellum, c’est-à-dire le cotylédon, organe de réserve dans lequel la plantule puise son énergie initiale ; l’embryon est issu de l’œuf formé à la suite de la fusion du noyau d’un spermatozoïde et de l’oosphère, il est diploïde ; 2) l’albumen, tissu de réserve (blanc ou jaune), essentiellement composé de grains d’amidon, sauf la couche périphérique située sous le péricarpe qui contient des grains d’aleurone (incolore, rouge ou violet) riches en protéines ; ce tissu est issu de la fusion du noyau d’un spermatozoïde et des deux noyaux de la cellule centrale, c’est donc un tissu triploïde (à 3n chromosomes) ; 4) l’enveloppe extérieure, fine membrane (incolore, rouge ou violette) translucide et fibreuse, issue du péricarpe de l’ovaire (donc en réalité une partie du fruit et non pas de la graine).

Schéma de grand-voile. Source : http://data.abuledu.org/URI/52617902-schema-de-grand-voile

Schéma de grand-voile

Une voile est caractérisée principalement par sa forme, son grammage et le(s) matériau(x) dont elle est composée.Les trois angles de la voile (sur une voile à forme triangulaire) ont une appellation spécifique : 1) Le point de drisse désigne l'angle situé au sommet de la voile une fois celle-ci hissée : c'est l'endroit où la drisse est frappée. 10) Le point d'amure désigne l'angle attaché au point fixe du bateau : lorsque la voile est en position, le point d'amure est sur l'avant du bateau. 12) Le point d'écoute désigne l'angle de la voile auquel est frappée l'écoute (foc) ou non loin duquel est passée l'écoute (grand-voile). Chacune des extrémités de la voile reçoit un renfort (3) constitué de plusieurs épaisseurs de tissus cousues ensemble parfois renforcées par une structure rigide. La têtière (3) est la partie renforcée de l'extrémité supérieure de la voile. Un œillet situé à chacun des angles permet de fixer la voile au gréement. Les côtés d'une voile triangulaire sont : la bordure (11), encore appelée l'envergure, car souvent reliée à une vergue (ici la bôme) est le côté de la voile parallèle au pont : c'est le bas de la voile lorsque celle-ci est hissée ; le guindant (6) est le côté de la voile solidaire de l'étai (foc) ou du mât (grand-voile) ; la chute (5) est le côté de la voile situé vers l'arrière, toujours libre : sa tension est réglée par un nerf de chute (8). Sur la grand-voile on trouve également 2 à 3 bandes de ris (9) - zones horizontales en partie renforcées et comportant des œillets aux extrémités qui sont utilisées pour réduire la surface de la grand-voile lorsque le vent forcit (prise de ris). Une voile est généralement composée de laizes (7) bandes de tissus cousues, découpées de manière à répartir l'effort en faisant éventuellement varier le grammage et positionner le creux de la voile (une voile n'est pas plate sauf s'il s'agit d'une voile de tempête comme le tourmentin). La chute des grand-voiles modernes est arrondie : c'est le rond de chute qui est autorisé par 3 à 4 lattes (4). Sur les voiliers très rapides, la voile peut aussi être complètement lattée, la tension des dites lattes permettant d'obtenir très exactement le profil souhaité. Le guindant de la grand-voile est rendu solidaire du mât soit grâce à des coulisseaux (2) fixés à la voile et passés dans la gorge du mât soit grâce à une ralingue (c’est-à-dire un cordage cousu le long de la voile). La bordure de la grand-voile est également tenue par une ralingue ou un/des coulisseau(x) passée dans la gorge de la bôme.

Sismomètre. Source : http://data.abuledu.org/URI/5093e571-sismometre

Sismomètre

Sismomètre exposé à l'Observatoire astronomique de Lick en Californie : sa situation offrait d'excellentes conditions d'observation grâce notamment à l'absence de pollution lumineuse, et au fait que le sommet du mont Hamilton se trouve presque toujours au-dessus du brouillard souvent présent dans la baie de San Francisco. Un sismomètre est constitué d'une masse très lourde placée sur une barre fixée à une de ses extrémités et qui pivote dans un plan horizontal (pour les deux sismomètres mesurant les composantes horizontales du déplacement) ou dans un plan vertical (pour le sismomètre mesurant la composante verticale). La masse est reliée au bâti par un ressort. Un aimant, fixé au bâti, entoure le bas du ressort, afin de stabiliser la masse après les secousses, et ainsi éviter que le sismographe n'enregistre des tremblements après la fin du séisme. La masse, en raison de son inertie, ne bouge pas alors que le bâti de l'appareil, fixé au sol, accompagne les mouvements du séisme. La plupart du temps, un sismographe est isolé du monde extérieur, pour éviter des perturbations dans les mesures (vent, pression atmosphérique).

Statue de l'Âme de la France à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/543ec949-statue-de-l-ame-de-la-france-a-la-reunion

Statue de l'Âme de la France à La Réunion

Statue de la Victoire "Âme de la France" de Carlo Sarrebezolles à Hell-Bourg, dans les Hauts de La Réunion. Comme les deux autres modèles, en plâtre et en pierre, L'Âme de la France en bronze est une statue de 3,20 mètres de haut. Elle représente une guerrière casquée étendant ses deux bras vers le ciel, sa main droite terminée par une délicate petite gerbe de fleurs et son poing gauche serrant au contraire avec force un bouclier enfilé sur son avant-bras. Cette posture singulière formant un V n'est pas gratuite. D'après Le Quotidien de La Réunion, "cette femme symbolise la victoire de la France à ses morts reconnaissants", en l'occurrence elle est un hommage aux soldats qui sont tombés pendant la Première Guerre mondiale, une guerre à laquelle La Réunion et les Réunionnais ont participé pour la défense de la Patrie, notamment emmenés par l'aviateur Roland Garros. Ainsi, le personnage figure visuellement la gratitude du pays envers les Poilus grâce à ce que la base Mérimée des Monuments historiques appelle une allégorie profane, et la statue peut donc faire fonction de monument aux morts. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/L%27%C3%82me_de_la_France

Structure cristalline d'un lingot. Source : http://data.abuledu.org/URI/513e3fcb-structure-cristalline-d-un-lingot

Structure cristalline d'un lingot

Morphologie cristalline typique d'un lingot : structure colonnaire à l'extérieur, puis structure dendritique, et structure équiaxe au cœur, avec une retassure sur le dessus — le profil du moule est normalement trapézoïdal, afin de pouvoir démouler le lingot. Un lingot résulte d'une coulée dans un moule globalement parallélépipédique ; en général, il s'agit d'une pyramide tronquée à base rectangulaire afin de pouvoir démouler le lingot. Le refroidissement se fait par l'extérieur ; en conséquence, il se crée un gradient de température : le cœur du liquide est plus chaud que les bords. La solidification commence donc par les bords et se termine par le centre. Il en résulte en général une structure typique en trois « couches » : structure dite « colonnaire » au bord, suivie d'une structure dendritique, puis au cœur d'une structure équiaxe. Le métal diminuant de volume lors de la solidification, le haut du lingot, qui est à l'air libre, présente en général un creux appelé « retassure ». Si le métal a été mal dégazé, il va présenter en surface des « criques » (sorte de sillons ressemblant à des fissures) et des pores à l'intérieur. Cependant, cette structure n'est pas systématique ; cela dépend grandement de la vitesse de solidification, de la direction de solidification (on peut volontairement isoler certaines parties du moule pour avoir une solidification dirigée) et de l'ajout éventuel de floculant.

Super-réfraction de radar météorologique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232e4e2-superrefraction-de-radar-meteorologique

Super-réfraction de radar météorologique

Effet de la super-réfraction dans une atmosphère non standard sur le faisceau radar qui peut voir au-delà de l'horizon car le faisceau se recourbe vers le sol (ex. inversion de température) et qui peut noter des précipitations sous l'horizon. Il arrive souvent que des inversions de températures se produisent à bas niveau par refroidissement nocturne sous un ciel clair, ou en altitude par subsidence. Également, l'humidité peut être capturée près du sol et diminuer rapidement avec l'altitude dans une goutte froide sous un orage, en situation du passage d'air chaud sur de l'eau froide, ou dans une inversion de température. Ces différents cas changent la stratification de l'air. L'indice de réfraction diminue alors plus rapidement que la normale dans la couche en inversion de température ou d'humidité ce qui fait recourber le faisceau radar vers le bas. Si l'inversion est près du sol, le faisceau frappe celui-ci à une certaine distance du radar puis retourne vers ce dernier. Comme le traitement radar s'attend à un retour d'une certaine hauteur, il place erronément l'écho en altitude. Ce type de faux échos est facilement repérable, s'il n'y a pas de précipitations, en regardant une séquence d'images. On y voit dans certains endroits des échos très forts qui varient d'intensité dans le temps mais sans changer de place. De plus, il y a une très grande variation d'intensité entre points voisins. Comme cela se produit le plus souvent en inversion nocturne, le tout commence après le coucher du soleil et disparait au matin. L'extrême de ce phénomène se produit quand l'inversion est si prononcée (et sur une mince couche) que le faisceau radar devient piégé dans la couche comme dans un guide d'onde. Il rebondit plusieurs fois au sol avant de revenir au radar. Ceci crée des échos de propagation anormale en bandes concentriques multiples. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Radar_m%C3%A9t%C3%A9orologique

Terrier noir de Russie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5160ceff-terrier-noir-de-russie

Terrier noir de Russie

Le terrier noir de Russie (tchorny terrier, черный терьер), ou terrier russe, est une race de chien originaire de Russie. Il est surnommé là-bas le terrier de Staline. Il a été fixé dans la seconde moitié du XXe siècle en URSS pour servir de chien de garde et de police. Pas moins d'une vingtaine de races de chien a été nécessaire pour sa création, comme l'airedale, le schnauzer, le rottweiler, le newfoundland, et deux races russes, le berger du Caucase et le chien d'eau russe (aujourd'hui disparu).

Théorème spectral. Source : http://data.abuledu.org/URI/529935e9-theoreme-spectral

Théorème spectral

Représentation de la sphère unité en dimension trois pour deux distances euclidiennes. La sphère rouge représente la sphère unité pour la première forme, la figure bleue représente la sphère unité pour la deuxième forme dans la mesure où celle-ci est définie positive. La figure bleue est un ellipsoïde dont les axes sont orthogonaux pour la première forme. La distance d'origine est définie par la sphère rouge et celle de la quadrique associée à Ψ, par l'ellipsoïde bleu. Il existe alors une base qui respecte l'orthogonalité des deux formes quadratiques. Si l'orthogonalité est respectée, il n'en est pas de même pour les longueurs. Ainsi, le vecteur unitaire de l'axe des x pour la distance originale (en rouge) est de longueur plus petite pour la nouvelle distance (en bleu), d'où la nécessité d'un coefficient s1 pour passer d'une distance à l'autre.

Trajet en omnibus en 1828. Source : http://data.abuledu.org/URI/514edebd-trajet-en-omnibus-en-1828

Trajet en omnibus en 1828

Le trajet en omnibus en 1828, par Jean Ignace Isidore Gérard, mieux connu sous son pseudonyme de J. J. Grandville (1803-1847), célèbre pour ses illustrations de journaux comme "La Silhouette," "L'Artiste," "La Caricature," et "Le Charivari." Ce dessin illustre une pièce de musique de "Une Course d'Omnibus" de Charles Henri Plantade (1764-1839). Un omnibus (du latin omnibus, signifiant « pour tous ») est un véhicule à traction hippomobile inspiré des diligences et assurant un service de transport public. Un omnibus circule à des horaires déterminés sur des lignes fixes, ce qui le distingue des fiacres, ancêtres des taxis, qui, loués par une personne ou une famille, se rend à la destination choisie par ses clients. Par ailleurs, il circule sur la chaussée, sans être guidés par des rails, ce qui les distingue des tramways. Il n'a pas nécessairement de points d'arrêts fixes. Le mot « omnibus », d'où viennent « autobus » et « bus », est apparu en relation avec la ligne créée à Nantes en 1826, la première en France, au XIXe siècle. L'âge d'or des omnibus est cependant le XIXe siècle, lorsque les villes commencent à s'étendre sous la pression d'une forte croissance démographique et industrielle, l'amélioration de la voirie, et à une époque où la petite bourgeoisie, qui pouvait économiquement payer des places, se développe. Lorsque Stanislas Baudry (1777-1830) décide de créer le même service à Paris, il crée une nouvelle entreprise à qui il donne le nom d'Entreprise générale des omnibus (EGO) ; il y est associé avec d'autres hommes d'affaires (Boitard et Saint-Céran). Le 30 janvier 1828, l'EGO obtient du préfet de police de Paris, Louis-Maurice Debelleyme, l'autorisation d'exploiter une entreprise de « voitures destinées à transporter à bas prix les habitants de certains points de la ville à d'autres points également fixés et en suivant des itinéraires fixés par la ville », avec au plus cent voitures. Les omnibus de l'EGO, tractés par trois chevaux, comptent 14 places assises réparties en trois classes. Après une phase de succès, l'EGO subit une crise dès l'hiver 1830 et est mise en faillite.

Trois types de distribution de la population. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7f4b2-trois-types-de-distribution-de-la-population

Trois types de distribution de la population

Les trois grands types de dispersion de la population. De haut en bas : la dispersion égale, la dispersion inégale et la dispersion insulaire. La distribution spatiale, en écologie, désigne l’arrangement spatial des organismes vivant dans leur milieu naturel. Elle peut aussi se définir comme la fluctuation spatiale de l’abondance des organismes dans leur aire de répartition1. Trois formes de dispersion sont généralement reconnues : égale, inégale et insulaire. La dispersion égale est celle où les organismes sont uniformément répartis dans l’espace. Les dispersions inégale et insulaire représentent les cas où les organismes ne sont pas uniformément répartis dans l’espace. La dispersion inégale donne une apparence d’arbitraire. Toutefois, les organismes sont très rarement dispersés arbitrairement dans un espace. Leur localisation est presque toujours étroitement influencée par divers facteurs biologiques et environnementaux. Dans la dispersion insulaire, les organismes forment des regroupements ou des îlots dans l’espace.

Welsh. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc3752-welsh

Welsh

Welsh servi avec un oeuf : plat gallois fait à base de cheddar fondu (originellement, on utilisait du fromage de Chester désormais difficile à trouver). Il est traditionnellement servi sur une tranche de pain grillé, le tout passé au four. En France, il est typiquement servi dans les brasseries du Nord-Pas-de-Calais, en particulier sur le littoral.